[Témoignage] Arnaud Massaert : le mobile au centre du digital

Diplômé d’un 4ème année Communication digitale à SUPDEWEB Bruxelles, Arnaud Massaert a fait du mobile sa spécialisation après ses études, il témoigne

Diplômé d’un 4ème année Communication digitale à SUPDEWEB Bruxelles, Arnaud Massaert a fait du mobile sa spécialisation après ses études, il témoigne

Diplômé d’un 4ème année Communication digitale à SUPDEWEB Bruxelles, Arnaud Massaert a fait du mobile sa spécialisation. Après un passage dans une agence digitale spécialisée dans le développement d’applications mobiles, il est aujourd’hui mobile consultant digital pour la start-up World of Digits. Sa première mission ? Repenser une nouvelle application mobile pour Ahold Delhaize.

 

En quelques mots, qu’est-ce que World of Digits ?

Il s’agit d’une jeune entreprise (créée milieu 2016) qui aide les autres entreprises, quel que soit leur secteur, dans leur transformation digitale. Nous les accompagnons ainsi dans le changement de culture et d’organisation mais aussi dans la création de nouveaux produits, l’automatisation numérique, l’exploitation de la data ou encore la mesure de performance.

Ce que j’aime chez World of Digits, c’est qu’il s’agit d’une société jeune et dynamique, en plein développement et 100 % digitale. Bien que nous soyons tous répartis chez différents clients, il y a un vrai esprit d’équipe. Nous recevons par exemple une newsletter bimensuelle qui nous permet d’avoir des informations sur les missions des autres consultants. Nous pouvons ainsi rester en contact, même si on ne se voit pas beaucoup, opérer une veille de ce qui se passe autour de nous et en tirer parti.

Pourriez-vous nous décrire la mission sur laquelle vous travaillez ?

Je suis actuellement mobile product manager chez Ahold Delhaize un groupe international du secteur de la grande distribution. Ma mission est de réinventer l’application mobile côté Europe (ce qui représente 4 pays). J’ai la chance d’être arrivé à la base du projet et de pouvoir gérer la création d’un bout à l’autre. Pour cela, je travaille avec des products owners en Belgique et une agence créative à Londres, chez qui je me rends une fois par semaine. En parallèle, je m’occupe de faire vivre l’application actuellement en ligne.

Qu’est-ce qui vous a attiré dans le monde du digital ?

Quand j’étais plus jeune, c’était un univers qui me plaisait. Je lisais des newsletters sur le sujet mais mes connaissances étaient assez sommaires. Finalement, c’est surtout l’écosystème qui m’a plu : je savais que le numérique était l’avenir. C’est un domaine qui ne cesse d’évoluer et on ne peut être expert qu’en se remettant toujours en question. C’était donc une bonne porte à ouvrir.

Pourquoi choisir SUPDEWEB ?

Je cherchais une formation qui me permettrait de réaliser un vrai stage. C’est ce que j’ai trouvé à SUPDEWEB, avec un stage de huit mois et une continuité de cours un jour par semaine. J’ai ainsi intégré la société Mediabrands qui m’a embauché un mois avant la fin de ma scolarité. Cette expérience en entreprise concrétisait l’enseignement que nous donnaient des intervenants très intéressants, car des gars du métier. Ce n’était pas des professeurs, ils avaient un travail à côté et partageaient avec nous les cas concrets qu’ils avaient vécus la veille. Ils ne nous donnaient pas des infos dépassées mais des choses réelles, en lien avec le présent. 

Un conseil pour les étudiants ?

Avant de choisir votre voie, analysez bien ce que vous voulez faire et les tendances du marché. La société bouge tellement vite… Une tendance aujourd’hui peut très bien tomber aux oubliettes dans un an. Il s’agit donc de se spécialiser dans un domaine tout en gardant un œil sur le reste. Le mot-clé, c’est la veille pour ne pas être dépassé si le domaine que l’on a choisi ne marche plus.

Le mobile est-il un bon secteur de spécialisation ?

Le taux d’utilisation du smartphone est énorme et je ne pense pas que cela va diminuer d’ici les prochaines années. Au contraire, le mobile sera le point de contact de tout ce qui touche à l’IoT. Ce sera la base de tout et il y a beaucoup de choses à faire. Il ne reste plus qu’à prier pour que les batteries tiennent plus longtemps !